ÉDITORIAL
Pour introduire notre propos, j’ai souhaité partager avec vous l’historique d’une tendance durable, avec ses caractéristiques et ses enjeux. Je vous invite à prendre un certain recul et à réfléchir de manière plus précise sur l’influence des circuits courts alimentaires sur notre mode de consommation. Ainsi, en limitant le nombre d’intermédiaires entre le producteur et le consommateur, nous contribuons à une meilleure rémunération des agriculteurs et donc à une agriculture plus responsable.
Ces circuits héritent d’une longue histoire qui est caractérisée par la vente à la ferme ou encore les petits marchés de producteurs. Pourtant, depuis les années 2000, cette tendance de privilégier le circuit court est devenue un véritable modèle de société, étant donné qu’elle permet de responsabiliser le consommateur tout en lui faisant prendre conscience de toutes les étapes du cycle de vie d’un produit. En effet, le consommateur désire désormais prendre mieux connaissance de ce qu’il mange tout en s’assurant que l’environnement est respecté lors de la production et après récolte. Ce mode de distribution, qui est en plein essor, met largement en évidence une prise de conscience générale de la population pour une consommation plus raisonnée, respectueuse et responsable tant d’un point de vue environnemental que social.
Cependant, de bonnes résolutions suffisent-elles à faire face au système actuel ?
Dans un premier temps, nous nous intéresserons aux avantages et aux bienfaits des circuits courts alimentaires dans une logique de développement durable, puis nous aborderons les limites de cette pratique.
En effet, la mise en place du circuit court alimentaire met en évidence des contraintes, notamment pour le producteur local. Par conséquent, ce dernier doit savoir innover et surtout s’adapter à la demande des consommateurs. Ce qui n’est pas sans conséquence car cela peut demander beaucoup plus de travail et des investissements considérables.
Photo : Les consommateurs plébiscitent les circuits courts alimentaires
Source : https://nouvellesconso.leclerc/wp-content/uploads/2019/11/ONC_Circuit-Court-Didactique_Redim.jpg
CHRONIQUE SUR UN SUJET D'ACTUALITÉ : LES ÉNERGIES VERTES !
Tout d'abord, je tiens à préciser que cette chronique n'a pas de lien direct avec notre sujet principal. Toutefois, il est intéressant de se poser quelques questions sur une thématique d'actualité avec les énergies vertes.
Chers auditeurs, bonjour ! Depuis toujours, nous ne cessons de nous interroger sur l’avenir de l’humanité, pourtant,
Est-ce qu’on se questionne réellement sur les éléments importants pour notre survie, à savoir
(Tin tin tin tintin)
Je vous le donne en mille : notre utilisation des énergies.
OUI L’énergie c’est la vie ! Nous en avons tous besoin !
Et nous ne sommes pas sans savoir que sur Terre, sans énergie, toute l’humanité ne survivrait pas.
Malheureusement, on le sait aussi, l’Homme ne cesse d’accroitre sa consommation, ce qui fragilise donc l’avenir de notre planète.
Alors c’est un choix difficile qui s’impose désormais à nous pour les années à venir. CAR Un véritable changement de nos habitudes de consommation est nécessaire.
On cherche donc à innover dans un tout nouveau concept avec les énergies vertes.
Cependant ce nouveau modèle de production demande des moyens considérables pour sa mise en place. Ce qui soulève de nombreux enjeux.
En effet, depuis maintenant un grand nombre d’années, l’Homme utilise les énergies fossiles pour satisfaire l’ensemble de ses besoins, sans bien entendu, penser aux répercussions que cela pourrait engendrer pour les années futures.
Ces énergies non renouvelables permettent d’assurer le fonctionnement des usines, des transports, de la production d’électricité, notamment. Mais elles sont aussi la cause d’une forte pollution et des émissions de CO2 croissantes.
Le problème étant qu’elles portent malheureusement bien leur nom car ces énergies ne sont pas en mesure de se renouveler. Elles sont présentes en trop faible quantité pour répondre à l’ensemble de nos besoins sur le long terme.
Il convient donc de mettre en place une solution alternative pour résoudre ces problèmes majeurs. L’énergie se réinvente donc avec l’essor des énergies vertes.
On compte parmi ces énergies renouvelables le solaire, l’hydraulique, l’éolienne et la géothermie, entre autres.
Elles représentent un véritable atout car elles bénéficient d’un renouvellement naturel et rapide. Mais posons-nous quelques questions : Les énergies vertes sont-elles si écologiques qu’on l’entend ? Rendront-elles le monde plus durable et responsable ? Seront-elles à la hauteur ?
En réalité, rien n’est moins sûr… Elles contiennent bel et bien une face cachée qui se distingue par l’extraction de métaux rares, essentiels pour la fabrication de l’ensemble de nos énergies vertes et dont nous ignorons les conditions de production.
Ce qui pose de véritables questions pour une énergie d’avenir.
CONSOMMER LOCAL ET MANGER MIEUX : UN DÉFI QUOTIDIEN
Pour introduire notre propos, j’ai souhaité partager avec vous les enjeux d’un sujet d’actualité : notre consommation de produits alimentaires. Aujourd’hui, nous ne sommes pas sans savoir que nourrir sa famille représente un véritable casse-tête pour les parents. Alors, je vous invite à prendre un certain recul par rapport à nos habitudes de consommation alimentaire. Nous allons donc réfléchir ensemble à comment pourrions-nous faire pour modifier nos comportements et adopter une consommation plus saine et responsable.
Depuis maintenant un grand nombre d’années, les géants de l’industrie agroalimentaire dominent le secteur de l’alimentation. Malheureusement, cette pratique, qui est en plein essor a bel et bien des répercussions sur les habitudes alimentaires du consommateur et par conséquent pour sa santé.
Pourtant, si l’ensemble des consommateurs adoptaient dans leur quotidien une alimentation qui soit à la fois saine et équilibrée, tout le monde pourrait retrouver un certain plaisir à partager des moments de convivialité en famille, que ce soit en cuisine, au potager ou lors de la rencontre des petits producteurs locaux. Cet usage permettrait également d'enseigner de nouvelles pratiques en direction des enfants et qui s’imprimerait alors très fortement pour leur vie future.
Effectivement, soutenir l’agriculture de proximité est un acte militant ayant pour objectif de mieux valoriser et rémunérer le travail des acteurs locaux. Un tel modèle de consommation garantit au consommateur de pouvoir retracer toutes les étapes correspondant au cycle de vie de son produit. Par conséquent, cette pratique permet de prendre conscience et redonner du sens à son alimentation, tout en apprenant à vivre au rythme des saisons.
Une certaine prise de conscience des consommateurs s’avère donc nécessaire car si nous continuons à ne pas vouloir privilégier les circuits courts et le faire soi-même, alors le risque de cancers, d’obésité et d’autres maladies continueraient à augmenter considérablement pour de nombreuses personnes.
En effet, la mise en place d’un tel mode de consommation responsable peut certes demander du temps et du travail supplémentaire. Mais si nous y réfléchissons bien, cette tendance comporte tout de même de véritables atouts. Il est donc essentiel de savoir se poser les bonnes questions, ce qui nous amène à se demander si ce mode de consommation pourrait être un véritable modèle pour les années à venir.
Photo : Documentaire "Manger sainement : un combat"
Source : https://www.youtube.com/watch?v=T9hLE1BJT4w
ALIMENTATION LOCALE : LES BIENFAITS POUR NOTRE SANTÉ ET L’ENVIRONNEMENT
Aujourd’hui, nous ne sommes pas sans savoir que l’essor des techniques d’industrialisations modernes a peu à peu conduit au développement d’une toute nouvelle forme d’alimentation, malheureusement nuisible pour notre santé. En effet, le développement de la malbouffe a bel et bien des répercussions sur l’environnement et sur la santé des êtres humains. Aujourd’hui, une certaine prise de conscience s’avère donc nécessaire. C’est pourquoi j’ai décidé de partager avec vous les atouts d’une consommation locale, raisonnée et responsable.
Au XXe siècle, le développement des zones urbaines et des moyens de transport ont peu à peu contribué à un certain déclin pour la pratique des circuits courts alimentaires. Pourtant, ce mode de consommation responsable refait aujourd’hui surface car davantage de consommateurs réalisent qu’il est préférable de choisir le circuit court tant pour leur santé que pour le climat.
En effet, l’usage du circuit court alimentaire permet de pouvoir consommer des produits frais, locaux, sans conservateur, étant donné qu’un court délai a lieu entre la phase de production, de vente et de consommation. De plus, les circuits courts alimentaires permettent également de proposer au consommateur une large variété d’aliments respectant la saisonnalité des cultures, sans pour autant que ces produits ne contiennent d’intrants ou autres pesticides.
C’est dans ce contexte qu’il est essentiel de se poser les bonnes questions pour adopter une alimentation qui soit à la fois saine et équilibrée. Ainsi, si on privilégie autant que possible un tel de mode de consommation responsable, alors les risques d’obésité, de cancers, de diabète et autres maladies seraient considérablement réduit.
Par ailleurs, d’un point de vue environnemental, l’usage du circuit court alimentaire permet de considérablement diminuer le gaspillage alimentaire, ainsi que les émissions de gaz à effet de serre, grâce à une optimisation du transport et de la logistique. Par conséquent, les quantités d’emballages seraient aussi réduites.
En effet, de plus en plus de consommateurs prennent conscience de l’importance de l’alimentation pour leur santé et le climat. Ainsi, l’usage du circuit court alimentaire représente désormais un véritable enjeu pour notre société. Ce qui met d’autant plus en évidence l’importance de développer ce mode de consommation pour les années futures.
ALIMENTATION SAINE ET ÉQUILIBRÉE : UNE PERSPECTIVE POUR LES ANNÉES A VENIR
Aujourd’hui, nous ne sommes pas sans savoir que si notre alimentation n’est pas saine et équilibrée, cela peut avoir des répercussions néfastes pour notre santé. C’est dans ce contexte que depuis plusieurs années, de plus en plus de consommateurs ont pris conscience de ce problème. En effet, la pratique du circuit court alimentaire connaît de nos jours un véritable regain d’intérêt. C’est pour cette raison que j’ai décidé de mettre en évidence la filière courte dans toutes ses formes comme une perspective pour les années à venir.
Depuis maintenant un certain nombre d’années, les circuits courts alimentaires attirent de plus en plus les consommateurs qui désirent consommer des produits frais, locaux et respectant la saisonnalité des cultures. Cette demande grandissante reflète une certaine prise de conscience générale de la population pour une consommation plus raisonnée et responsable. L’essor de la filière courte est alors rendu possible par la diversité de formes permettant de répondre aux enjeux de société actuels tels que le réchauffement climatique, ou encore le gaspillage.
Nous ne sommes pas sans savoir que les circuits courts alimentaires se distinguent par de nombreuses formes de vente directe qui sont les marchés classiques ou spécialisés pour les producteurs, mais également les ventes à la ferme, les foires, les salons, ou encore les livraisons à domicile. De plus, il existe aussi les ventes sous forme de cueillette, soit en libre-service, ou bien en libre-récolte, mais aussi celles faisant intervenir au maximum un intermédiaire.
Cette diversité de formes de ce circuit de distribution alimentaire représente un véritable atout pour notre société. En effet, les circuits courts alimentaires sont des facteurs de développement de l’économie locale, d’emplois locaux et d’apprentissage pour les territoires. Ils constituent également un authentique outil de lutte face aux problématiques de société actuelles.
Il est essentiel de développer la filière courte dans notre quotidien car elle a pour objectif de créer un certain lien social avec les acteurs locaux, notamment lors de la tenue des événements tels que les Journées Fermes Ouvertes. Ce qui permet aussi de garantir un prix pour le consommateur qui soit à la fois transparent, équitable, raisonnable et sans surplus.
En effet, les circuits courts alimentaires comportent de véritables avantages pour notre société étant donné qu’ils s’inscrivent pleinement dans une logique de développement durable. Ce qui met en évidence cette pratique comme une perspective d’avenir.
Source : https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRKmRcASwIl002ih8zCBHGczdAB48mB396fyQ&usqp=CAU
L’IMPACT ENVIRONNEMENTAL DES CIRCUITS COURTS ALIMENTAIRES
Tout d’abord, nous ne sommes pas sans savoir que l’ensemble des activités humaines sont à l’origine de la propagation des émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, contribuant ainsi au réchauffement climatique. En effet, le changement climatique a bel et bien des conséquences à plus ou moins long terme pour l’homme. Aujourd’hui, il est donc nécessaire de se poser les bonnes questions pour limiter les impacts environnementaux liés à nos pratiques, entre autres, notre alimentation. C’est pourquoi, j’ai décidé de mettre en avant les répercussions environnementales d’une tendance de société avec les circuits courts alimentaires.
Aujourd’hui, de en plus de consommateurs réalisent que leur alimentation peut avoir des répercussions plus ou moins néfastes sur leur santé. C’est dans ce contexte que depuis maintenant quelques années, on assiste à un véritable essor de la pratique du circuit court alimentaire. Néanmoins, cet usage peut présenter un bilan carbone contrasté.
Effectivement, les circuits courts alimentaires permettent de limiter à un seul le nombre d’intermédiaire entre la phase de production, de vente et de consommation. Cet aspect représente un véritable avantage car si on optimise au maximum le transport et la logistique de nos produits alimentaires, alors les émissions de gaz à effet de serre peuvent ainsi être réduites.
De plus, les préoccupations environnementales sont beaucoup plus importantes en circuit court car en France, en 2010, 10% des exploitations agricoles produisent du bio, contre seulement 2% en circuit long. Ces différentes caractéristiques permettent de mettre en avant les circuits courts comme la solution miracle face au changement climatique. Mais ce n’est malheureusement pas le cas.
En effet, les circuits courts alimentaires peuvent toutefois présenter un bilan carbone mitigé car la proximité entre un producteur et un consommateur ne veut pas dire faible quantité d’énergie dépensée. Par exemple, avec le transport maritime, il est tout à fait possible que le circuit long soit le plus avantageux sur ce point par rapport au circuit court.
Les circuits courts alimentaires représentent donc un véritable atout d’un point de vue environnemental pour notre société. Toutefois, cette pratique n’est pas la solution miracle en réponse face au changement climatique. Ce qui nous laisse réfléchir à une autre alternative permettant de diminuer plus considérablement notre empreinte carbone à long terme.
FILIÈRE COURTE ALIMENTAIRE : UN OUTIL DE LUTTE FACE AUX CRISES ?
Depuis maintenant quelques années, les circuits courts alimentaires suscitent un regain d’intérêt pour de nombreux consommateurs. En effet, ce mode de distribution existe depuis le XXe siècle avec les ventes à la ferme et les marchés de producteurs locaux. Toutefois, cette pratique a quelque peu subi un certain déclin en raison du contexte d’industrialisation, et entre autres le développement des moyens de transport. Désormais, face à une demande grandissante, cet usage refait surface.
Aujourd’hui, de plus en plus de consommateurs réalisent que les circuits courts alimentaires ont pour objectif de permettre de pouvoir consommer des produits à la fois frais, de saison, locaux et tout en retrouvant un prix à la fois transparent et équitable. Autrement dit, ce mode de distribution alimentaire comporte de véritables atouts, à tel point qu’il pourrait représenter une solution alternative, en réponse face aux différentes crises.
En effet, la pratique du circuit court alimentaire constitue un acte militant étant donné que le consommateur joue le rôle d’acteur décisif permettant le fonctionnement du système. De plus, nous ne sommes pas sans savoir que ce mode d’alimentation responsable garantit le développement de la filière courte, tout en créant un lien social et en garantissant un prix rémunérateur pour le producteur.
L’essor des circuits courts alimentaires laisse donc supposer qu’il pourrait être le remède miracle face aux crises telles que celle du COVID-19. Toutefois, il ne faut pas oublier qu’un tel développement de la filière courte témoigne également de nombreuses difficultés concernant sa mise en place.
Effectivement, la vente directe supprime tous les intermédiaires entre un producteur et le consommateur. Ce qui implique que l’agriculteur se retrouve confronté à assumer seul toutes les étapes caractérisant le cycle de vie d’un produit. En outre, cette technique amène aussi une augmentation considérable de la charge de travail et des investissements supplémentaires parfois importants, au-delà de la prise de risque pour l’agriculteur local.
Les circuits courts alimentaires suscitent donc un intérêt sans précédent pour des consommateurs qui désirent désormais adopter une alimentation saine et responsable. Toutefois, en raison des problématiques qu’elle soulève, cette pratique n’est pas la solution miracle en réponse face aux crises, à long terme.
Photo : Manger de saison, local, en circuit court
Source : https://www.bonjourdarling.com/wp-content/uploads/2019/09/circuit_court_blog_long-1600x1200.jpg
ALIMENTATION DU XXIE SIÈCLE : UNE PRISE DE CONSCIENCE POUR FAIRE FACE AU MODÈLE ACTUEL
Depuis de nombreuses années, de plus en plus de consommateurs prennent conscience qu’une mauvaise alimentation peut avoir de graves répercussions pour leur santé. Pourtant, face à notre modèle de société actuel, un grand nombre de personnes plébiscitent encore les fast-foods et la malbouffe. Aujourd’hui, de plus en plus de citoyens adhèrent désormais à des pratiques telles que celle des circuits courts alimentaires, suite à une certaine prise de conscience. Nous allons donc voir ensemble pourquoi il est essentiel d’adopter une alimentation saine et équilibrée.
Aujourd’hui, nous ne sommes pas sans savoir que les consommateurs sont nombreux à se rendre dans des enseignes proposant de la malbouffe, au détriment de leur santé. Néanmoins, si on développait davantage la filière courte, les consommateurs pourraient retrouver un certain plaisir à consommer des produits frais, locaux, et de saison, tout en partageant des moments de convivialité. C’est dans cette perspective qu’il est maintenant essentiel de savoir se poser les bonnes questions.
Effectivement, la consommation excessive d’une nourriture trop grasse, salée et sucrée peut avoir des impacts négatifs pour notre organisme. En effet, la malbouffe est responsable du développement de nombreuses maladies pour le consommateur, comme par exemple le diabète, l’obésité, l’hypertension, ou encore des problèmes cardio-vasculaires, notamment.
Cependant, notre modèle de société actuel incite les consommateurs à se rendre dans les enseignes de malbouffe, notamment par l’intermédiaire de la publicité, que ce soit dans les médias, à la télévision, ou encore par la presse écrite. Ce qui n’est pas non plus sans conséquence pour les petits producteurs locaux qui doivent continuer à faire face malgré cette concurrence.
Pourtant, si l’ensemble des consommateurs adoptaient dès aujourd’hui une alimentation raisonnée et responsable, alors le risque de maladies serait considérablement réduit. De plus, nous ne sommes pas sans savoir que les circuits courts alimentaires peuvent constituer une issue face à de nombreux problèmes de société tels que la pollution, ou encore la consommation d’énergie.
Aujourd’hui, il s’avère donc nécessaire de retrouver la pleine maîtrise de notre alimentation en privilégiant davantage les circuits courts, les producteurs locaux, et le faire soi-même. C’est pourquoi il est désormais indispensable de savoir modifier nos habitudes de consommation.
LA FILIÈRE COURTE ET SES LIMITES
Tout d’abord, nous ne sommes pas sans savoir que les circuits courts alimentaires mettent en évidence une relation marchande basée sur le lien social entre le producteur local et le consommateur. C’est dans ce contexte que depuis maintenant quelques années, de plus en plus de citoyens privilégient ce mode de consommation responsable pour ses nombreux atouts. En effet, cette pratique connait désormais un incontestable regain d’intérêt. C’est pourquoi j’ai souhaité prendre un certain recul pour permettre d’accroître en nous un esprit de nuance pour cette tendance de société.
Effectivement, les circuits courts alimentaires séduisent de plus en plus de personnes désirant considérablement changer leurs habitudes de consommation. De fait, pour faire face à cette demande grandissante, les acteurs locaux ont dû considérablement s’adapter. Toutefois, ce mode de distribution alimentaire perçoit certaines limites, c’est ce que nous allons voir.
Les circuits courts alimentaires représentent de nombreux avantages qui sont entre autres rendus possible par une diversité de formes. Désormais, 7% des achats alimentaires sont réalisés via cette pratique. Cependant, ils sont aussi la source de nombreux problèmes et contraintes. Premièrement, ce mode de distribution alimentaire implique encore plus de travail pour l’agriculteur qui se retrouve alors engagé à exercer à la fois le métier de producteur et de vendeur.
De plus, pour les producteurs locaux, les circuits courts alimentaires peuvent solliciter des investissements supplémentaires que l’on retrouve notamment pour la présentation, la transformation et le marketing des produits. En plus de cela, celui-ci se retrouve également confronté à une réglementation très stricte qu’il doit impérativement respecter pour éviter les sanctions.
Afin d’assurer la commercialisation des produits alimentaires, les acteurs des territoires doivent aussi se doter d’un point de vente et de stockage pour l’ensemble des denrées alimentaires. Ce qui représente encore une dépense supplémentaire. Autrement dit, la pratique des circuits courts alimentaires suscite un véritable casse-tête concernant sa mise en œuvre.
La mise en place des circuits courts alimentaires comportent certes de nombreux avantages tant pour le producteur que pour le consommateur, mais ils sont aussi la source de nombreuses complications. C’est pourquoi il est alors essentiel de bien s’informer et de se poser les bonnes questions avant de se lancer dans une telle pratique.
LA FACE CACHÉE DES CIRCUITS COURTS ALIMENTAIRES
Depuis de nombreuses années, de plus en plus d’agriculteurs diversifient les modes de commercialisation de leurs produits en innovant dans les circuits courts alimentaires. En effet, ce mode de consommation responsable séduit de plus en plus de consommateurs. Pourtant cette pratique révèle aussi une certaine face cachée. C’est pourquoi j’ai décidé de partager avec vous le paradoxe des circuits courts alimentaires.
Afin d’introduire notre propos, nous ne sommes pas sans savoir que les circuits courts alimentaires se distinguent par une véritable particularité. En effet, ils permettent de réduire le nombre d’intermédiaire entre le producteur local et le consommateur. Cependant, la notion de circuit court révèle aussi une certaine extravagance car elle ne tient pas compte de la notion de proximité.
Effectivement, suite à une prise de conscience générale de la population, de plus en plus de consommateurs réalisent qu’il est préférable d’adopter le circuit court alimentaire tant pour leur santé que pour le climat. La preuve étant que désormais, 76% des français consomment des produits de leur région au moins une fois par mois et 44% au minimum une fois par semaine.
Toutefois, la notion de circuit court relève un aspect contradictoire car elle ne tient pas compte de la distance que peut parcourir un produit. En ce sens, un aliment peut très bien parcourir 300 km tout en étant considéré dans ce modèle de consommation qualifié de responsable. C’est pourquoi il est essentiel de savoir distinguer cette pratique avec celle des circuits de proximité afin d’éviter toute forme de désillusion.
Contrairement aux circuits courts alimentaires, les circuits de proximité tiennent compte de la dimension géographique que l’on peut retrouver entre le producteur local et le consommateur. C’est pour cette raison que le consommateur doit être particulièrement vigilant s’il souhaite soutenir pleinement l’agriculture locale et l’économie circulaire de son territoire.
Effectivement, les circuits de proximité se distinguent des circuits courts alimentaires qui, quant à eux ne tiennent pas compte de l’étendue géographique que l’on peut retrouver entre un producteur local et le consommateur. Cette caractéristique peut donc porter à confusion de nombreuses personnes souhaitant adopter une alimentation locale. C’est pourquoi il est avant tout essentiel de bien s’informer sur tous les aspects de ce concept d’actualité.
Photo : Fruits issus du cicuit court alimentaires
Source : https://balises.bpi.fr/content/uploads/sites/4/2021/03/fruit-370103-1280-1024x588.jpg
AGRICULTURE PAYSANNE : BILAN ET DIMENSION PROSPECTIVE
Depuis maintenant quelques années, le développement des nouvelles technologies et des outils modernes ont peu à peu conduit à la modernisation d’une pratique quelque peu oubliée à partir du milieu du XXe siècle. En effet, les circuits courts alimentaires connaissent aujourd’hui un fort regain d’intérêt. C’est dans ce contexte que depuis les années 2010, ils représentent environ 7% des achats de produits alimentaires. C’est pourquoi j’ai décidé d’établir avec vous un bilan sur ce mode de consommation avec des perspectives pour les années futures.
En effet, nous ne sommes pas sans savoir que le contexte d’industrialisation a quelque peu entraîné un certain déclin de l’usage des circuits courts alimentaires dans notre quotidien. Pourtant, de plus en plus de consommateurs souhaitent désormais retrouver un contact direct auprès du producteur local, avec des produits d’une meilleure qualité. C’est dans cette optique que cette pratique pourrait alors devenir un véritable modèle pour les années à venir.
Les circuits courts alimentaires se caractérisent par des nombreuses formes de vente directe qui existent depuis maintenant un grand nombre d’années. En outre, la vente à la ferme, mais aussi les petits marchés de producteurs locaux. Désormais, face à une demande grandissante de la part des consommateurs, ce mode de distribution connaît un renouveau avec l’essor de nouvelles techniques.
Effectivement, depuis maintenant quelques années, on assiste à la mise en place de nouvelles formes de vente. En outre, nous pouvons mettre en évidence les AMAP (associations pour le maintien d’une agriculture paysanne), qui ont pour objectif de proposer au consommateur une diversité d’aliments issues d’une agriculture durable et de proximité.
Les circuits courts alimentaires représentent également une véritable opportunité à pourvoir pour les années à venir étant donné qu’ils s’inscrivent pleinement dans une logique de développement durable. En effet, ce mode de distribution est à la fois écologiquement sain, socialement équitable et économiquement viable. Une bonne raison supplémentaire pour privilégier la filière courte dans notre quotidien !
Aujourd’hui, les circuits courts alimentaires connaissent un regain d’intérêt sans précédent. Désormais, le développement des techniques modernes permet à cette pratique de détenir un grand nombre d’atouts en réponse face à de nombreux problèmes de société. Ce qui représente alors une perspective positive pour les prochaines décennies.
LOCAVORISME : UNE TENDANCE EN PLEIN ESSOR
De plus en plus de citoyens perçoivent les circuits courts alimentaires comme une excellente initiative permettant de rapprocher les producteurs locaux des consommateurs. En effet, cette pratique a pour but de faire retrouver le caractère saisonnier des produits alimentaires tout en redonnant de la valeur à une agriculture durable et raisonnée. Désormais, cette tendance connait un succès sans précédent grâce à la mise au point de nombreuses pratiques écoresponsables. C’est ce que nous allons maintenant voir.
En effet, nous ne sommes pas sans savoir que le locavorisme ainsi que la filière courte désignent un acte de consommation citoyen et responsable s’inscrivant pleinement dans une démarche de développement durable. C’est pourquoi j’ai décidé de partager avec vous les atouts de cette tendance qui attire toujours plus de personnes.
Aujourd’hui de plus en plus de consommateurs désirent désormais consommer des produits locaux. C’est dans ce contexte que la tendance de locavorisme séduit alors de plus en plus de consommateurs. En outre, en 2015 ce sont 21% des français qui privilégient les achats alimentaires produits à proximité du lieu de vente. Ce qui est tout à fait considérable.
Effectivement, cette pratique qui ne cesse de se développer vise à consommer des produits de saison, d’une meilleure qualité, tout en contribuant à réduire le gaspillage alimentaire. Cette tendance de société comporte de véritables avantages car elle a également pour objectif de soutenir l’économie locale d’un territoire tout en permettant une potentielle création d’emplois.
De plus, être locavore est un acte respectueux de l’environnement car cet usage contribue à réduire le temps de transport des produits et par conséquent, les émissions de gaz à effet de serre. Cependant, avec ce mode de distribution, les acteurs locaux sont davantage confrontés aux aléas climatiques. Ce qui peut constituer un frein pour le développement de ce concept.
En effet, on assiste à une certaine prise de conscience d’une grande partie de la population désirant désormais apprendre à manger mieux en consommant des produits locaux dans leur quotidien. C’est pourquoi il faut continuer à développer la filière courte qui est un mode d’alimentation responsable s’inscrivant totalement dans une démarche de commerce équitable et de développement durable.
Photo : Panier de légumes issus de la filière courte
Source : https://planete-appro.fr/wp-content/uploads/2019/12/panier-legumes.jpg
CONCLUSION GÉNÉRALE
Finalement, les circuits courts alimentaires représentent un circuit de distribution séduisant de plus en plus de citoyens qui prennent désormais conscience de l’importance de leur alimentation pour leur santé et pour l’environnement. En effet, nous ne sommes pas sans savoir que si elle n’est pas saine et équilibrée, notre consommation de produits alimentaires peut avoir des répercussions néfastes pour notre organisme, entre autres le développement de nombreuses maladies.
De plus, la filière courte constitue un authentique outil de lutte face aux problématiques actuelles. Tout d’abord, d’un point de vue environnemental cette pratique s’inscrit pleinement dans une logique de développement durable. Ensuite, elle permet à un grand nombre de personnes de consommer des produits frais, locaux et de saison, tout en retrouvant un prix qui soit à la fois rémunérateur, transparent et équitable.
Les circuits courts alimentaires permettent également de recréer un certain lien social avec les producteurs locaux tout en adoptant une alimentation qui soit à la fois saine et responsable dans notre quotidien. Nous pouvons aussi noter que le développement des techniques modernes permet désormais l’apparition de nouvelles formes de commercialisation, participant ainsi à une démarche de commerce équitable, comme le locavorisme.
Cependant, ce modèle de consommation comporte aussi des difficultés et complications, notamment en ce qui concerne sa mise en place. Effectivement, pour les acteurs locaux, cela demande des investissements supplémentaires, parfois conséquent, au-delà de la prise de risque encourue face à une réglementation très stricte.
De plus, la notion de circuit court ne se réfère malheureusement pas à la notion de distance géographique, contrairement aux circuits de proximité. Ce qui implique un bilan carbone pouvant parfois être mitigé. Cet aspect contradictoire peut alors constituer un frein pour l’essor de cette tendance de société.
De nos jours, nous pouvons certes noter que les circuits courts alimentaires comportent certaines lacunes, mais si on y réfléchit bien, les avantages que cet usage nous procure mettent en évidence le fait qu’il est dès à présent indispensable de savoir retrouver une pleine maîtrise de son alimentation dans notre quotidien.
Photo : Circuit court alimentaire
Source : https://images.prismic.io/wizifarm/blog_article_vendre-circuits-courts.png?auto=compress,format&rect=0,0,799,450&w=1000&h=563
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- PUGET, Yves. Les contradictions du circuit court. – LSA, janvier 2022, n° 2681, - 1 p.
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